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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 11:26


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PERFORMANCE THÉÂTRE / MUSIQUE / PHOTO


CONTES URBAINS DE MON VILLAGE

 

 

Salle Paul Bru - Bayonne

Horaires : 14h30 /20h30 - Entrée libre

80 places

 

Auteur : Chiuch Lionel

Conteur : Cheikh Sow

Photographe : Jean-Paul Guimbretière

 

De même que la musique, la parole abolie les frontières sur la page de l’auteur et dans les mots du conteur. Des mots qui voyagent, des vies qui se partagent sur d’autres horizons et paysages. Nous n’avons plus qu’à nous laisser porter par cet improbable voyage.

 

Lionel Chiuch rencontrera en octobre des familles vivant dans les immeubles des Quartiers Nord de Bayonne.

et racontera leurs histoires de vies, le départ de leur pays pour la France, souvenirs, rêves, illusions, peurs, surprises, amour, vie nouvelle… Elles vous seront racontés par Cheikh Sow, autre voix, autre souffle, autre artiste.

Venez écouter cette rencontre entre cet auteur et ce conteur, entendre ces histoires incroyables de vos voisins…
 des histoires de vies…


PERFORMANCE ÉLECTRO-ACOUSTIQUE


LUTHERIE ELECTRONIQUE

 

Lieu : Auditorium CRR Bayonne Côte Basque 

Horaires : 17h / 18h

Durée : 30 min - Entrée libre

180 places

 

Musiciens : P. Défossez (professeur au Conservatoire)

            Etté Kim

 

Improvisation Electro Acoustique.

Expression sonore - transversale et performative - pour 2 pianos et extensions électroacoustiques au cours de laquelle 2 interprètes revisitent la forme et la plastique d’oeuvres de répertoire en mettant en miroir texte et texture, écriture et improvisation en tant que prolongement d’écriture instantanée et éphémère, sculpture et perspectives spatialisées. Un croisement entre le répertoire et l’art de l’instant tant en acoustique qu’en liaison avec les

lutheries électroniques.

Des traitements sonores sont appliqués aux matières acoustiques générées par les pianistes. Il en résulte une écriture additionnelle éphémère électrodesignée.

Traitements et transmutations sont diffusés en multipoints dans l’espace de propagation de l’Auditorium. 

Le Duo devient ainsi Duo augmenté.

Ce concert musique en atelier en 2 parties se propose de faire vivre au public - librement installés autour des pianos - deux espaces temporels à portées émotionnelles différentes tout en conservant une unicité stylistique affirmée.

Avec la participation des élèves de la classe Multimédia de l’Ecole d’Art de Bayonne. Responsable : Romain Sein

 

Régie électroacoustique et technique :

Élèves de la classe de composition électroacoustique

Programme :

• 1ère partie :

réécriture autour de la célèbre suite pour piano seul children’s corner de claude debussy

• 2ème partie :

autour de l’oeuvre originale pour 2 pianos matin calme de patrick defossez (1ère audition)

12 pièces évolutives à fortes intensités discursives alliant diverses facettes historiques, actuelles et innovantes du piano et permettant de nombreux échanges texturaux entre les 2 pianos. L’improvisation est un paradigme important de ces pièces 
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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 11:25


©DR

PERFORMANCE MUSIQUE / VOIX / THÉÂTRE / VIDÉO


OMBRE

 

Lieu : Écuries de Baroja - Anglet

Horaires : 10h30 COMPLET / 14h30 / 20h30

Durée : 45 min - Entrée libre

80 places

 

Actrice et chanteuse : Sonia Cutri

Musicien : Stéphane Gourc 

 

Consommer pour avoir, pour alléger l’angoisse de notre absurde condition humaine, l’oppressant besoin de combler un vide qui nous renvoie inlassablement à la vacuité.

Un être humain piégé, qui perd son identité propre quand il confond ce qu’il est avec ce qu’il possède.

Piégé dans ce cercle consumériste infernal où les différences entre riches et pauvres se polarisent, où les ressources naturelles s’épuisent, où les déchets s’accumulent, où la dégradation de l’environnement pulvérise notre future planétaire.

Un message engagé et désespéré sur la malnutrition que nous réservent la voix et le lyrisme de Sonia Cutri (actrice, metteur en scène, scénariste, et chanteuse d’origine sud américaine) et Stéphane Gourc (musicien et percussionniste landais.) qui usera de procédés plastiques et vidéo pour vivre cette performance. 

Devons-nous fatalement rester consommateurs ou sommes-nous prêts à devenir « consom’acteurs » ?


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PERFORMANCE PEINTURE / MUSIQUE / DANSE


AUTOUR DE L’OEUVRE DE MARCEL BREUER


Lieu : Spacejunk / Board Culture Art Centers - Bayonne

Horaire : 20h30

Entrée libre

60 places

 

Musicien : Sylvain Aubert

Light painting : Michaël Guillemin

Danseuse : Alessia Loureglio

 

 

Un DJ bidouilleur, un plasticien de la lumière et une danseuse contemporaine.

Ces trois explorateurs vont pour la première fois se mêler et tenter de visiter l’identité de l’architecte Marce Breuer.

Le plasticien travaille la lumière et les décors virtuels à l’aide d’un vidéo projecteur et d’une palette graphique. Le musicien crée des atmosphères sonores en récupérant et détournant les composants électroniques de vieux jouets, ordinateurs etc. La danseuse contemporaine viendra ajouter son expression à celles des deux autres pour apporter un point de vue complémentaire sur le thème de l’exposition présentée. 

Entre spectacle vivant, concert et live painting, cette performance hybride mélange les genres pour une expérience originale à partager en famille.


 

 

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 11:24

LEOTARD, UN SOIR

HOMMAGE A PHILIPPE LÉOTARD


CETTE SOIRÉE AU CINÉMA L’ATALANTE EST UN HOMMAGE AU GRAND ARTISTE PERFORMER LÉOTARD.

QUATRE MOMENTS FORTS SONT PRÉVUS ET COMPOSERONT CE MOMENT DE RENCONTRE AVEC CET ARTISTE : DEUX FILMS VOUS SONT PROPOSÉS, UNE PERFORMANCE MUSICALE ET VOUS POURREZ ÉCOUTER ET ECHANGER AVEC MARC MONDOU, LE NEVEU DE LÉOTARD.  


PERFORMANCE CINÉMA 



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LA GUEULE OUVERTE

 

Lieu : Cinéma l’Atalante - Bayonne

Horaires : 18h

Place : 4€ l’une / 6€ les deux séances (LE FRANC TIREUR + LA GUEULE OUVERTE)

 

180 places

 

LA GUEULE OUVERTE

France – 1974 – 1h22 - Réalisé par Maurice Pialat avec Philippe Léotard, Nathalie Baye, Hubert Deschamps…

Dans une petite ville d’Auvergne, une femme, atteinte d’un cancer, vit les derniers mois de sa vie. Autour d’elle, sa famille doit assumer et vivre son agonie. Son mari et son fils, ayant besoin plus que jamais de ressentir la vie, continue à courir les femmes. Tandis que la belle-fille remâche quelques vieilles rancunes à l’égard de la mourante. Elle finit par s’éteindre, laissant un grand vide, pourtant la vie doit continuer.


PERFORMANCE MUSIQUE / VIDÉO



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AUTRES VOIX SUR LÉOTARD

 

 

Lieu : Cinéma l’Atalante - Bayonne

Horaires : 20h 

Entrée libre

180 places

 

A l’occasion de leur prochaine performance dans le cadre du Festival des Rencontres Improbables 2009, Les Crieur Pudiques nous offrent un récital hommage à l’artiste Philippe Léotard.

 

Dans le cadre du bar au cinéma l’Atalante de Bayonne, les trois chanteurs comédiens vont bouleverser leur apparence, leur art de la voix et de la sonorité en revisitant les paroles des chansons ou des textes de l’artiste sous la forme très contemporaine du slam et du rap.

Un pari conséquent pour ce trio atypique qui d’ordinaire a pour vocation de mêler humour, fantaisie et dérision lors de ses apparitions sur scène. 

Ici, plus question de pousser la chanson drôle ou caustique. C’est une évocation poétique que nous proposent Les Crieurs Pudiques. Et pour s’offrir tous les moyens d’un tel défi et garder l’esprit instantané de la performance, Pierre Talgorn, le compositeur du groupe, mettra tout son talent au service de l’accompagnement musical et sonore, Marc Robert, ces connaissances en scénographie et Gianmarco Toto composera un montage vidéo. 

 

Dans le cadre de cette soirée dédiée à la mémoire d’un artiste incontournable, ce seront d’autres voix sur Léotard que nous partagerons ensemble autour d’un verre. 



PERFORMANCE CINÉMA
 


LE FRANC-TIREUR

 

 

 

Lieu : Cinéma l’Atalante - Bayonne

Horaires : 21h

Place : 4€ l’une / 6€ les deux séances (LE FRANC TIREUR + LA GUEULE OUVERTE)

180 places

 

LE FRANC-TIREUR

France – 1972 – 1h12 -  Réalisé par Jean-Max Causse, Roger Taverne , avec Philippe Léotard, Estella Blain, Roger Lumont.

Le 21 juillet 1944, le plateau du Vercors est investi par les troupes allemandes qui ont décidé de le nettoyer des francs-tireurs qui s’y sont réfugiés. Michel Perrat est venu rendre visite à sa grand-mère, mais le village est attaqué. En fuyant pour sauver sa peau, il se joint à une poignée de maquisards et de civils qui tentent d’échapper à l’ennemi nazi. Le piège se resserre autour d’eux.


PHILIPPE L., SUPER… PERFORMEUR DE LA VIE


RENCONTRE AVEC MARC MONDOU
(Neveu de Philippe Léotard)

 

Lieu : Cinéma L’Atalante - Bayonne

Horaire : 22h30

 

 

Il était un homme. C’est de lui que je veux parler. Pas d’une icône, pas d’une légende. Encore moins d’une star. Un homme tout simplement. L’homme qui voulait être aimé de tous.

Il s’appelait Philippe. Les copains disaient ‘Filou’. Les autres, ‘Léo’. 

Lui, corrigeait souvent, l’œil ridé et coquin souligné par un sourcil mobile en accent circonflexe : « Léo, c’est l’autre… ne me confondez pas avec mon frère ! ».

Il me disait « Fils ! ». Moi, je l’appelais Tonton Philippe. Philippe, c’était mon oncle d’Amérique extrême orientale, conteur torride et envoûtant, invraisemblable tonton taquin dont on en parlait à mi-voix dans les réunions de famille parce que le sujet était malgré tout un peu sulfureux… Il me faisait rêver. Il n’avait pas de frontières.

On avait en commun l’amour de Rimbaud et de l’ASSE, celui de l’Afrique et du football, de la danse et du plaisir, de la beauté du monde, de la Corse et de la Patagonie, des confins des paradis terrestres et des nuits sans sommeil…

Ses grands potes s’appelaient Michel (Colucci) et Patrick (Dewaere). Avançant dans l’âge, il faisait précéder d’Ange son prénom de Philippe, en hommage à ce grand-père maternel à la barbe fleurie et au chapeau, ce ‘Babo’ taquin, immense photographe qui s’ignorait et grand amoureux des femmes comme lui.

 

On a dit beaucoup de choses de Philippe. On a dit et écrit tant de bêtises qu’il n’est plus temps d’en tenir l’inventaire… Lui-même condescendait peu à l’exercice, même si chaque critique cinglait et le blessait au plus profond. Cela mérite juste deux à trois petites vérités rétablies à la hâte…

« C’était un grand brûlé » a écrit de lui Claude Nougaro. Assurément. Habité de flammes. Embrasé. Il jouait comme d’autres vont travailler. Jouer. Encore et toujours. Il aurait aimé être gardien de phare : il était une vigie attentive des grandes solitudes terrestres. Un enfant qui a grandit trop vite. Un homme qui n’aurait jamais voulu survivre à l’idée même du mensonge. La rencontre avec la duplicité lui avait été fatale en quelque sorte. Vieillir était insoutenable pour lui car cela signifiait s’arracher à cette innocence-là dont nous sommes tous fils. Amer, « des fausses fleurs qu’ils mettent à leur cœur ». De la tiédeur des sentiments qui s’enfuit en vapeurs…

 

Cet ange-là était un vrai démon. Démon au grand cœur. C’est là que tout commence. Car Philippe était d’une extrême générosité, prêt à tout donner contre la promesse d’une rencontre, d’un moment de liberté, d’une ivresse, d’un partage fut-il modeste. Toujours. 

Si bien d’ailleurs que l’idée de posséder même lui était étrangère… ajoutée à cela une incompatibilité d’humeur irréductible avec la comptabilité, et vous comprendrez mieux pourquoi l’homme était condamné au ‘show’… plutôt qu’au ‘business’.

C’est pourquoi tant et tant l’ont aimé, lui le clown au nez rouge qui voulait faire rire la face déprimée de la vie.

Parce qu’il était lui, parce qu’il était vrai. Parce qu’il nous renvoyait à une part de nous, un jardin secret : notre part d’enfance et d’innocence.

 

Deuxio, c’était un homme d’une immense et intense liberté, ce qui l’excluait de fait de la compréhension du plus grand nombre de ses contemporains. Il n’avait pas les mêmes valeurs. N’en déplaise à beaucoup, il se sentait l’âme d’un aristocrate… Et en bon patricien, lui qui citait Suétone et Marc-Aurèle, il avait toujours un regard magnanime pour l’autre. Tout plébéien qu’il fut. C’est d’ailleurs pour cela que tout le monde l’adorait. Sauf ceux qui l’ont oublié… souvent après cherché sa lumière pour mieux briller. Ne citons personne.

Tertio, c’était un comédien hors norme, tous ceux qui ont partagé un jour la scène avec lui de Michel Piccoli à Nathalie Baye, de Juliette Binoche à Patrice Chéreau, de Coluche à Simone Signoret, ont témoigné de ce talent exceptionnel forgé, trempé dans l’acier rare de la sincérité. Il faut l’avoir vu dans David Mamet ou Bernard-Marie Koltès pour mesurer le géant qu’il était.

Un passeur d’émotions. Un jongleur de mots. Un coureur de planches. Il était avant tout un homme de théâtre, un comédien mieux qu’un acteur. 

 

Un authentique comédien, habité le feu sacré du Verbe fait chair.

Il était en vie à la scène. Et en scène à la vie. Eternel joueur.

En représentation – et en révolution - permanente. Chantant, écrivant, criant, éructant, récitant, inventant, scandant, soufflant, contant… 

Il voulait être reconnu. Pour ce qu’il était plus que pour ce qu’il faisait.

Aimé de tous. ‘Pacce salute’ à toi Philippe, comme on dit chez nous…

 

 

Marc MONDOU

Parler de Philippe…

 

Lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois avec Kristian Frédrick, c’était à Paris en plein cœur de Barbès, ce Paris que nous aimions à croiser à l’aube après une nuit de fête avec Filou… C’était le 28 mai 2008. Nous nous sommes compris au premier regard. Nous avions déjà tant parlé au téléphone que j’avais l’impression de le connaître depuis toujours. Rencontre élective. Et, immédiatement, j’ai lu dans ces yeux cette fièvre qui habite seule ceux qui marchent avec leurs rêves, les font grandir, leur donne souffle et corps, sang, passion et âme.  

Alors, lorsqu’il m’a parlé de « Rencontres Improbables », de ses larmes le jour de la mort de Philippe, de l’hommage qu’il voulait lui rendre, quand il m’a proposé de venir participer au Festival j’ai dit oui, immédiatement.

Puis, nous avons été voir ensemble « Moitié, moitié » de Daniel Keane et ce fut vraiment une belle soirée.

Oui, je veux témoigner de Philippe et de ce qu’il fut.

Je veux le faire pour trois raisons principales que j’ai à cœur de partager avec tous ceux qui seront là, je l’espère nombreux, pour redécouvrir ses mots, ses films, son talent unique, sa flamme.

D’abord je reste persuadé que peu de gens ont pris conscience de l’extraordinaire carrière de Philippe, chanteur-acteur-poète super…performeur ! Les deux films programmés permettront d’esquisser un retour vers celle-ci, si riche et trop méconnue… Ensuite, pour tenter d’explorer, un peu mieux, un peu plus avant, sa vie plus que son œuvre. Et vous en donner une lecture. De l’intérieur. Enfin, parce qu’il est des choses qui n’ont jamais été dites et qui méritent de l’être...

Merci Kristian !

 

Marc MONDOU, plumitif-entrepreneur

 

Deuxième enfant de Marie-Hélène, la deuxième sœur de Philippe Léotard (née en 1937, elle était son aînée de trois ans),  Marc Mondou a noué depuis sa plus tendre enfance, une relation particulière avec cet oncle qui lui a donné de partagé avec lui quelques tournages, pièces de théâtre et beaucoup d’échanges intimes.

Marié et père de quatre garçons (Antoine, César, Charles, Auteur, rédacteur, ‘nègre’, journaliste et plumitif (presse, publicité, communication), est notamment à l’origine de l’édition du livre ‘Entrepreneurs en mouvement/Rhône-Alpes’, publié en 2005 chez Autrement et d’une dizaine d’ouvrages de commandes.

A 44 ans, ce journaliste de formation (IPJ/ 1987), après avoir fait ses premières armes en Provence (Nice-Matin), a mis au profit son amour des mots, son expérience de la communication institutionnelle et un long parcours en agences de communication (Euro RSCG, Esprit Public, Kaélia…) pour créer à Lyon, en 2007, une maison de communication : Treize Avril (www.treizeavril.fr).

Pour « partager une conviction : plus sensibles à leur environnement et aux mouvements du monde, les organisations humaines qui communiquent sincèrement seront non seulement mieux intégrées mais également plus performantes ». 
 

 

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 11:23

PERFORMANCE MUSIQUE - ORCHESTRALE


FANFARE LAFAYETTE


Lieu : Galeries Lafayette

Horaires : 15h30 / 16h30 / 17h30

Durée : 20 à 25 min - Entrée libre

 

A la croisée du festival «Les Improbables» et de la « Semaine Culturelle Espagnole » du Conservatoire Maurice Ravel.

Les élèves musiciens créeront la surprise en participant en «fanfare» à un concert  insolite aux accents ibériques. Confrontés à un espace différent d’un procénium musical traditionnel, les musiciens du concervatoire iront vers une nouvelle approche artistique et un nouveau public.

 

SOIRÉE DE CLOTURE DU FESTIVAL

 

PERFORMANCE MUSIQUE / CIRQUE / DANSE / VIDÉO


M.A.K KALOSTRAPEAN


Lieu : Kalostrape - Bayonne

Horaire : 20h30
Entrée libre - 60 min

 

En partenariat avec l’Institut Basque

 

80 places

 

Musiciens : Musika Armatu Komando

Artiste de cirque : Ana Lore Royer

Vidéo : VJ Oneo Kem

Danse : Tony Crew

 

Pour la soirée de clôture de notre festival, un retour à la culture locale s’imposait. M.A.K (littéralement Musika Armatu Komando) part en campagne contre les procédés trop classiques de la « carte postale ». M.A.K a choisi le rap pour exprimer sa composition, il invite la vidéo avec VJ Oneo Kem, des danseurs de hip hop et une acrobate suspendue à un tissu sous la voûte du Kalostrape ostatua. Les icônes de la culture populaire basque apparaîtront tout au long de cette prestation mais sous un œil résolument plus jeune et contemporain. La nouvelle génération crée.


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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 11:22

Du 9 au 14 octobre

Quartiers Les Hauts de Bayonne


Dans les immeubles des quartiers nord de Bayonne vivent de nombreuses familles culturellement différentes et qui, parfois ne se sont jamais rencontrées, ne savent pas ou peu de choses de leurs voisins, ont des histoires vives, fortes, douces, laborieuses ou désœuvrées. Nous proposons à un auteur de venir à la rencontre de ces familles, d’avoir assez d’empathie, de sensibilité, de doigté pour les inviter à lui confier leur quotidien, l’histoire anonyme de leurs existences. Pour immortaliser ces instants rares et privilégiés, il faudra au moins l’œil sensible de Jean-Paul Guimbretière, artiste photographe incontournable de la compagnie depuis plusieurs années. Par la suite, la plume de l’auteur se mettra au travail pour nous permettre découvrir ces textes par le biais d’un conteur. (Cf. Contes Urbains de mon village - mercredi 25 novembre)

 

RECUEILLIR LA PAROLE COMME ON CUEILLE UN FRUIT

 


La vie. Leurs vies. Multiples, malgré les évidentes similitudes. Puisqu’il leur a bien fallu partir de quelque part pour arriver ici et que ce «quelque part» conditionne justement ce qui caractérise leur «ici».

 

Femmes, enfants, hommes, époux, cousins, fils, mère, etc. Un jour, ils sont arrivés en France, avec dans leurs bagages des souvenirs et pour boucler le tout la fibre encore vive de leurs racines. Certains bousculés, d’autres comme on renonce, d’autres encore avec la certitude que ce sera mieux, que ça ne peut qu’être mieux de toutes façons. Les voilà donc dans ce pays qui parfois les regarde de travers, à se faufiler entre la méfiance et l’indifférence, soucieux de mettre des couleurs dans ces tours de Babel où des dieux repus frayent avec diverses divinités.

 

Il fallait bien aller à leur rencontre. Et tendre l’oreille, parce que trop souvent c’est le silence qui donne la plus juste mesure de leur condition. Avec eux, parler, et se laisser prendre aux récits murmurés, aux joies vécues, aux douleurs de ceux qui abandonnent quelqu’un ou quelque chose. L’idée, oui, c’est d’être à l’écoute de ces familles, disponible et indemne de tout préjugé et des certitudes confortables. S’asseoir là, simplement, et se dire qu’il reste toujours les mots pour nourrir la mémoire, lever les ambiguïtés et donner à l’homme des nouvelles de l’homme.

 

Et surtout, recueillir les histoires. Toutes les histoires. Celles qui racontent l’hier sans préjuger du demain. Celles de ce qui se perd et des gains quelquefois dérisoires. Celles qui débutent par « il était une fois » et s’achèvent sur autant de fois qu’il faudra. Celles des gens du même pallier, de la même cage d’escalier, du même bloc, de la même périphérie du monde. Mais jamais de la même histoire, sûrement pas.

 

Recueillir la parole comme on cueille un fruit.

 

Ensuite, ce qu’on en fait, du fruit, c’est de la confier à un griot, un comédien/conteur africain qui va le peler et en extraire la pulpe. Lui, il saura raconter tout ça, en tirer la part de mystère, en rendre la saveur et même jusqu’aux acidités. Il y aura comme ça des contes urbains pour dire le vrai goût de ces fruits et pour qu’on puisse en partager le jus.

Jus d’Afrique de l’Ouest, jus du Maghreb, jus de l’Orient, jus des ailleurs qui ont coulé jusqu’ici, en filets à capturer sur les pas-de-porte et dans les chambres obscures.

 

Cette envie-là, oui, d’aller y voir. Et d’y goûter. Et d’en faire un spectacle qui ne relève ni de la mauvaise conscience ni de l’exotisme mais seulement des histoires narrées, à partager comme un fruit précieux gorgé de poésie.

 

Des vies. Les leurs.

Lionel Chiuch 



LE SAMEDI 10 OCTOBRE 

CAFÉ BRASSERIE TABAC LE CYRANO, BIARRITZ

 

TROP DE CRITIQUE TUE LA CRITIQUE?

 

Horaire : 20h30

 


Internet, les blogs, l’impertinence est-elle nécessairement l’apanage de ces blogs, les médias classiques – devenus frileux - ayant opté pour une ligne plus conformiste ? 

Cette impertinence se développe-t-elle au détriment de la compétence ? …

 

En vérité, au-delà des possibles et nécessaires disgressions, il y a «effectivement» péril en la demeure. Une demeure qui dressait orgueilleusement ses murs de papier, ceux d’une presse qui fit autrefois la pluie et le beau temps dans les travées.

 

La crise venue, le premier appareil a être démantelé fût cependant l’appareil critique : licenciements en masse des journalistes affectés à la discipline (notamment aux Etats-Unis), réduction de l’espace dévolu aux comptes-rendus et avant-premières, glissement sournois vers le «people», qui aime faire prendre des vessies pour des lanternes.

 

Qu’il s’agisse des arts de la scène, de la musique, du cinéma ou encore de la littérature, c’est désormais vers la Toile que se tourne une bonne partie du public. Il est dépassé le fameux «quart d’heure de célébrité» pour chacun auguré par Andy Warhol,  place au «quart d’heure d’opinion» à partager avec le plus grand nombre.

 

Car qu’est-ce finalement une critique, sinon une opinion argumentée sur tel ou tel objet artistique ? C’est désormais sur Internet que ça se passe, ou plutôt que ça passe, sans qu’on saisisse vraiment dans cet insondable flux s’il s’agit d’un vrai travail critique ou de simples considérations personnelles (lesquelles ont toutefois une valeur propre, qu’on se gardera de négliger) 

 

Lionel Chiuch

 

Réservation : 05 59 24 32 67 

au Café brasserie tabac LE CYRANO à Biarritz

1, rue des Jardins (Quartier St Charles)- 64200 Biarritz

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 11:21

LA FAMILLE IMPROBABLE :

 

Artistes : Nadine Mangeret - Jean-Michel Daulouède - Sylvie Beigbeder - Pierre-Yves Pouvreau - Hervé Etcheto Lydia Lesburguere 

 

« Quels sont ces drôles de formes noires errant dans les rues des cités du BAB ? Où vont-ils ? Qui sont-ils ? Comme ils sont étranges ! On ne devine que l’extrémité de leurs jambes sous ce voile opaque et impénétrable. Soudain, le passant intrigué se laisse entraîner dans l’ombre des membres de cette famille improbable. A présent ce sont deux paires de jambes que l’on peut discerner sous ce manteau tombant. Le comédien camouflé et le passant sont ensembles, face à face. « Mais que font ils ? Qu’attendent-ils ? » se demandent les spectateurs de ces étranges couples à couvert. La tentation est trop grande. Voici un second passant qui disparaît dans l’ombre de l’acteur et un troisième… Un instant plus tard, revenant de cet étrange rendez-vous avec les paroles de Philippe Léotard les spectateurs ont changé. C’est un sourire, une larme de joie, de plaisir ou de tendresse qui peint leur visage… Et le sombre voile de la famille improbable reprend sa promenade tranquille.

N’hésitez-pas à rencontrer cette famille improbable lorsque vous la croiserez au détour d’une rue, près d’une impasse, sur la place d’un marché ou dans une grande surface. C’est un moment privilégié, intime qui vous est offert avec un comédien 

Pour trouver la famille improbable…

Le samedi 21 Novembre : à partir de 10h Marché des Halles de Bayonne - 14h30-16h30 / Galeries Lafayette - À partir de 17h30 / Rues du centre ville de Bayonne ou Musée Basque si pluie
À partir de 19h30 - MVC Centre ville de Bayonne
Le dimanche 22 Novembre : à partir de14h30  / St Jean de Luz - Rue Gambetta / Place Louis XIV
Le samedi 28 Novembre : À partir de 10h / Marché des Halles - 14h30-18h30 / Rues du Centre Ville (si pluie galeries Lafayette)

Performances vitrines des Galeries Lafayette 

 

ELLES CRIENT MAIS ON NE LES ENTEND PAS


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DU SAMEDI 14 AU VENDREDI 20 NOVEMBRE

Artistes : Le collectif Artitadeto

Maialen Dissard

Patricia Gomez Rojo

Helga Massetani

 

Dans la vitrine, sont installés 3 téléviseurs.

Sur chaque vidéo apparaît le visage d’une personne filmée derrière une vitre qui interpelle les gens.

L’absence de son, empêche toute communication. Les spectateurs sont incapables de décrypter ce que la personne dans son écran tente de lui dire ou de lui expliquer.

 

A travers cette installation, Artitadetó veut exprimer cette incapacité de transmettre des idées à quelqu’un, d’échanger ou de mettre en commun.



DU SAMEDI 21 AU SAMEDI 28 NOVEMBRE

DE 14H À 19H

 

UN DESSINATEUR EN BULLE


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BDéiste : Patrice Lesparre

 

Dans le cadre du festival, Patrice Lesparre, dessinateur bayonnais réalisera une bande dessinée enfermé dans une vitrine des Galeries Lafayette. Vous découvrirez en direct jour après jour les étapes de la création : mise en page, crayonnés, encrage. 

 


ATELIER DE JOURNALISME

 

Nous proposons aux jeunes de 15 à 25 ans , lycéens, étudiants de tous horizons de s’initier, le temps du festival à l’art du reportage. Rencontres avec les artistes performeurs, interviews, rédactions d’articles, critiques…

Pour accompagner ces reporters improbables, le journal du Sud-Ouest, la Semaine du Pays-Basque et le Journal du Pays Basque se chargeront de faire paraître les articles et comptes rendus.

 

 

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 11:20
La compagnie Lézards qui bougent les Hauts de Bayonne est soutenue par:

      



Les partenaires privés à l'année de la compagnie :

  


Les partenaires du festival : 

                                             




Les partenaires privés du festival :

    
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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 10:20

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 10:19
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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 10:16


 
JAZ ONE

Ken Lee (New-York / États-Unis)

Plasticien 

 

Ken Lee est un jeune plasticien d’une trentaine d’années, vivant à New-York. Il a fondé en 2008 avec un groupe d’artistes un mouvement underground «South Kitchen» en hommage à cet endroit de la maison où chaque américain finit par se trouver. Touche à tout, peintre, photographe et sérigraphe, il vit à New-York depuis sa plus tendre enfance. Le choix de son nom est déjà toute une  légende. Ken, en hommage à la poupée bien connue et copine de Barbie, dont les surréalistes avaient déjà détourné l’image et Lee en hommage à Bruce Lee, dont il est un grand fan. Aucune photo n’existe de Ken Lee, seules  ses oeuvres témoignent de ses recherches et de son grand attachement à sa ville. Quelques auto-portraits entretiennent le mythe, sont-ils réels où encore des manipulations de son esprit ? 

En octobre 2008, lors de son voyage à New-York, à l’occasion d’une soirée de soutien au candidat Barack Hussein Obama, Kristian Frédric fait sa connaissance. Une longue soirée arrosée et festive  finit par souder les deux hommes. Kristian lui parle de son projet autour de l’écriture de Koffi Kwahulé et de l’idée d’éditer un story-board en amont du spectacle. Ken Lee, excité par le projet, lui propose la création de visuels pour cette édition.

Il créé alors deux oeuvres originales qui viennent éclairer cette publication. L’oeuvre qu’il a faite pour la couverture du livre a été créée sous forme de tableau, qu’il a offert à la compagnie Lézards Qui Bougent. Une série numérotée de cette oeuvre sera réalisée pour la création du spectacle.


"Jaz one" numérotée de 1 à 300 exemplaires, format 24x60cm, signée par l'artiste : 350€ (frais de livraison compris/zone européenne).
Pour en savoir plus n'hésitez pas à nous contacter au 05 59 50 36 60 ou à laisser un commentaire… 
 

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  • : Le Festival Rencontres Improbables 4
  • : Le festival de performances Rencontres Improbables 4 se déroulera à Bayonne, Biarritz, Anglet, du 14 au 28 novembre. Il est organisé par la compagnie Lézards Qui Bougent. Vous y découvrirez de nombreuses performances en danse, vidéo, théâtre, musique, cirque, photo… dans différents lieux du BAB (Pays Basque).
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